Certes, Tacheles, c’était “touristes, touristes, touristes”
Pour se rendre dans son atelier du squat de Tacheles, il fallait se frayer un chemin parmi les touristes qui photographiaient tous les recoins du bâtiment, les bouteilles de bière vides et les œuvres d’art qui traînaient un peu partout. Au premier étage, sur un mur couvert de graffitis, on tombait une première fois sur son nom imprimé sur un poster brun doré. Quelques volées de marches plus haut, au troisième étage, son atelier.
Read the 4th article of my series about the Tacheles squat in Berlin on Rue89 (in French).